ÇáãÓÇÚÏ ÇáÔÎÕí ÇáÑÞãí

ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : Åáì ÇáÃÎÊ ÈÔÑì ÕÈÑí


b.alae
05-06-2009, 19:09
ÔßÑÇ ÃÎÊí ÈÔÑì Çááå íÎáíß ÃÔäæ ßíßæä Ýí ÇãÊÍÇä ÇáÝÑäÓíÉ æÇÔ ÛíÑ ÇáÑæÇíÇÊ

ÈÔÑìÕÈÑí
05-06-2009, 22:48
ßíÚØíæß Ôí ÔÇÈíÊÎ ãä ÇáÑæÇíÇÊ ÇáËáÇË Çæ ßíÚØæß Úáíå ÇáÇÓÆáÉ
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ÇáÊæÝíÞ Çä ÔÇÁ Çááå

soufyan
06-06-2009, 16:19
ÇÎÊí Ýí ÇáÌåæí ßíÍØæ æÇÍÏ ÇáÑæÇíÉ ãä Ïæß ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÑÈÚÉ ÛíÑ Ôí ÔÇÈíÊÑ æÇÓÆáÉ ÊÊÚáÞ ÈÍíÇÉ ÇáßÇÊÈ æäæÚ ÇáäÕ æÕÝí æáÇÓÑÏí
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ÈÔÑìÕÈÑí
06-06-2009, 18:07
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ÈÔÑìÕÈÑí
06-06-2009, 18:11
ÇÌí
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candide et le père goriot et il était ine fois un vieux couple heurex
Ôäæ ÈÞÇÚ
ÚØíäí ÚÇÝß ÇáÓíÑÉ ÇáÐÇÊíÉ ÏíÇá ÇáßÇÊÈ ÇáÑæÇíÉ ÇÑÇÈÚÉ
æÔßÑÇ

b.alae
07-06-2009, 11:54
François Marie Arouet
dit Voltairehttp://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f3/Voltaire.jpg/250px-Voltaire.jpg (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Voltaire.jpg)

Autres nomsVoltaireActivité(s)Écrivain (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89crivain) et philosophe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophe)Naissance21 (http://fr.wikipedia.org/wiki/21_novembre) novembre (http://fr.wikipedia.org/wiki/Novembre) 1694 (http://fr.wikipedia.org/wiki/1694)
Paris (http://fr.wikipedia.org/wiki/Paris) (France (http://fr.wikipedia.org/wiki/France))Décès30 (http://fr.wikipedia.org/wiki/30_mai) mai (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mai) 1778 (http://fr.wikipedia.org/wiki/1778)
Paris (http://fr.wikipedia.org/wiki/Paris) (France (http://fr.wikipedia.org/wiki/France))Mouvement(s) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_litt%C3%A9raire)Lumières (http://fr.wikipedia.org/wiki/Lumi%C3%A8res_(philosophie))
François Marie Arouet, dit (http://fr.wikipedia.org/wiki/Pseudonyme) Voltaire[1] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire#cite_note-0), né le 21 (http://fr.wikipedia.org/wiki/21_novembre) novembre (http://fr.wikipedia.org/wiki/Novembre) 1694 (http://fr.wikipedia.org/wiki/1694)[2] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire#cite_note-1) à Paris (http://fr.wikipedia.org/wiki/Paris) où il meurt le 30 (http://fr.wikipedia.org/wiki/30_mai) mai (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mai) 1778 (http://fr.wikipedia.org/wiki/1778), est un écrivain (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89crivain) et philosophe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophe) qui a marqué le XVIIIe siècle (http://fr.wikipedia.org/wiki/XVIIIe_si%C3%A8cle) et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. « On n’emprisonne pas Voltaire » dira de Gaulle (http://fr.wikipedia.org/wiki/De_Gaulle) en 1960 à ceux qui réclament l’inculpation de Sartre (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Sartre) dans l’affaire du Manifeste des 121 (http://fr.wikipedia.org/wiki/Manifeste_des_121).
Symbole des Lumières (http://fr.wikipedia.org/wiki/Lumi%C3%A8res_(philosophie)), chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme » (il invente en 1759 le slogan « écrasons l’infâme » par lequel il termine ses lettres à ses intimes), nom qu’il donne au fanatisme religieux. Il n’en finit pas de dresser la liste des malheurs et des crimes qu’il engendre, et, pour lui, il ne peut y avoir de progrès de l’humanité et de la civilisation sans tolérance. Dans ce contexte, son grand ennemi est la religion chrétienne et l’Église catholique de son temps. Ses adversaires l’accuseront de saper les bases de la religion et par là même de la monarchie et de favoriser la dépravation des mœurs.
À près de 70 ans, exilé loin de Paris dans son château de Ferney (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ferney-Voltaire), il prend, seul, la défense des victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres (Calas (http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Calas), Sirven (http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Sirven), chevalier de La Barre (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois-Jean_Lefebvre_de_La_Barre), comte de Lally (http://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Arthur_de_Lally-Tollendal)) et met son immense notoriété auprès des élites éclairées de l’Europe des Lumières à leur service. C’est ce Voltaire-là, « l’homme aux Calas », le « don Quichotte des malheureux » que le peuple de Paris ovationne, à son retour dans la capitale en 1778. Il inaugure ainsi la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser.
De son œuvre littéraire, on lit aujourd'hui essentiellement ses écrits philosophiques en prose : contes et romans (Candide (http://fr.wikipedia.org/wiki/Candide) est son ouvrage le plus célèbre), Lettres philosophiques (http://fr.wikipedia.org/wiki/Lettres_philosophiques), Dictionnaire philosophique (http://fr.wikipedia.org/wiki/Dictionnaire_philosophique)) et sa correspondance (40 000 lettres dont 15 000 retenues dans les 13 volumes de la Pléiade (http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Pl%C3%A9iade)). Son théâtre (René Pomeau (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Pomeau) a estimé à deux millions de personnes l’affluence attirée par ses tragédies de son vivant[3] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire#cite_note-2)), ses poésies épiques, ses œuvres historiques, qui firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle, sont aujourd’hui largement négligées ou ignorées. Peu d’écrivains ont écrit en français mieux que Voltaire : sa phrase est courte, simple, élégante, toujours précise. Son ironie — la fameuse ironie voltairienne — est mordante. L’audace, la verve, la causticité de sa prose donnent une idée de ce que devait être l’éclat de sa conversation

BALZAC Honoré de
(20 mai 1799 - 18 août 1850), Ecrivain

http://www.bacdefrancais.net/balzac.gif

Honoré de Balzac est né le 20 mai 1799 à Tours où il était issu d’une famille bourgeoise car son père était directeur des vivres de la 22ème division militaire de Tours. Il aura deux sœurs et un frère. A huit ans, Balzac fut envoyé au collège de Vendôme où il sera pensionnaire. Il vécut une expérience traumatisante qui donna lieu à l’œuvre Louis Lambert en 1832. Au début, Balzac était destiné à la carrière de Notaire selon les souhaits de sa mère. Cependant, en 1818, il avoua à ses parents qu’il désirait devenir écrivain et il bénéficia d’une année pour mettre à l’épreuve sa nouvelle vocation.
Cromwell fut le premier essai qu’il écrivit mais cette tragédie ne reçut que peu d’encouragements par la famille et les amis. C’est pourquoi il produisit ses premières œuvres en partenariat avec d’autres auteurs et sous un pseudonyme.
http://www.bacdefrancais.net/balzac.jpg En 1826, Balzac se fit également éditeur puis imprimeur et contracta un grand nombre de dettes (environ 100 000 francs). C’est pour pouvoir rembourser toutes ses dettes qu’il devint journaliste dans La Silhouette, La Caricature mais aussi La Chronique de Paris en 1836. A partir de cette date, la plupart des romans de Balzac furent d’abord publiés en feuilleton avant d’être édités en volume.
Dès lors, il ne vécut que pour la littérature et à un rythme de forcené.
Le Dernier Chouan ou Le Bretagne fut le premier roman que Balzac signa de son vrai nom, en 1800. Ce fut un échec commercial mais il avait fait le premier pas en le signant. Le génie balzacien arriva en octobre 1829 quand Balzac rédigea La Maison du chat qui pelote. Enfin, apparut le premier tome de Scènes de la vie privée avec un ensemble de textes tels que La Vendetta qui raconte l’histoire de Ginevra, jeune fille corse, amoureuse de Luigi Porta dont la famille fut massacrée par le propre père de Ginevra, le texte Gosbeck, Une double famille et Le Bal des Sceaux.
En mai 1832, apparut le second tome. De l’ensemble se détachèrent surtout deux romans : Le Colonel Chabert et Le Curé de Tours. Ce furent les deux premiers grands drames de la vie privée qu’écrivit Balzac.
En 1832, l’auteur annonça à une mystérieuse correspondante du nom de la comtesse Eve Hanska l’œuvre Eugénie Grandet. Cette histoire parle d’une jeune fille, Eugénie Grandet, qui tombera amoureuse de son cousin de Paris, Charles Grandet. Son père qui est très avare va vite mettre fin à cette courte idylle. M. et Mme Grandet meurent et Eugénie garde la fortune. Après sept ans d’attente pour Charles, elle apprendra qu’il ne veut plus d’elle. La riche héritière, devenue très avare comme son père, épousera un président de la cour en premières noces et un marquis en secondes noces. Après avoir longuement correspondu avec Eve Hanska, Balzac la rencontra en septembre 1833 et devint son amant. Cette liaison se terminera par un mariage. La correspondance qu’ils échangèrent dans le passé fournit de précieux renseignements sur l’élaboration de La Comédie Humaine.
En 1842, pour la première fois, une édition de La Comédie Humaine apparut de façon complète. C’est alors que l’œuvre ne cessa de s’enrichir.
En 1845, Balzac chercha à donner une structure plus ferme à La Comédie Humaine et décida que l’œuvre complète comprendrait cent trente-sept romans, qu’il groupa en trois parties, "étude de mœurs ", "études philosophiques " et "études analytiques".
Atteint de crises cardiaques successives, d’étouffements et de bronchites, Balzac mourut le 18 août 1850, peu de temps après avoir épousé Eve Hanska.


http://scienceweb.ift.fr
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La biographie de Mohamed Khair-Eddine
Écrivain marocain (1941-1995) Né à Tafraout (sud du
Maroc) en 1941 dans une famille de commerçants. Il a vécu à Agadir
(1961-1963), à Casablanca (1963-1965), puis 15 ans à Paris (1965-1979)
où il y publie beaucoup et anime pour France-Culture des émissions
radiophoniques nocturnes, il se marie et a un fils. Il rentre seul au Maroc
en 1979, d’un coup de tête dira-t-il. En 1989, il est à nouveau à Paris où il
renoue avec le théâtre. Il est mort à Rabat en 1995. Ses oeuvres, interdites
aux Maroc de son vivant, ont commencé à être rééditées en 2002.
« Écrivain de l’exil, exilé de l’écriture. Mohamed Khaïr-Eddine a longtemps
cultivé cette particularité qui a façonné son mythe et singularisé son style.
L’adepte de la “Guerilla linguistique” s’est lancé très tôt dans la quête de
nouvelles formes d’expressions qui révolutionnèrent, en son temps, les
principes fondamentaux de l’écriture maghrébine de langue française. »
(par Mahjoub Haguig, Maroc-Hebdo, juin 2002).
Agadir : L’auteur est très marqué par le séisme de 1960, il s’installe à
Agadir en 1961 et y vit jusqu’en 1963. Il est chargé d’enquêter auprès de
la population pour le compte de la Sécurité Sociale.
Ses oeuvres ont été publiées, pour la plupart, aux Éditions du Seuil : Corps
négatif, suivi de Histoire d’un Bon Dieu, Soleil arachnide, Moi l’aigre, Le
Déterreur, CE Maroc, Une odeur de manthèque, Une vie, un rêve, un
peuple, Toujours errants, Légende et vie d’Agoun’chich, Résurrection des
fleurs sauvages...