amina abdallaoui
25-03-2009, 06:54
Quand, dans ton innocent regard vide,je vois la faim
Le froid,et qu'au savoir,tu préfèrerais un peu de pain
Je m'en veux de m'empiffrer à mourir tous les matins.
Toi l'enfant d'ANFKOU,descendant des guerriers divins
Quand au lieu de beaux cahiers,dans ta besace ,des buches
lourdes à porter,sur ton chemin enneigé plein d'embuches
Trainant ton petit pas fragile,tel un vieil ours en peluche
Au condamné,je pense qui, haut sur l'échaffaud on juche
Quand le sang berbère limpide qui coule dans tes fines veines
refuse de geler dans ces froides montagnes et vastes plaines
et que ton sourire de la douleur émerge,quoi qu'il advienne
Je réalise que la bataille d'EL HANSSALI n'était pas vaine
Quand le son des bendirs et des tamawaytes,haut vont résonner
Quand les corps par haidouss rythmés ,dans les rangs vont foisonner
Tu ressurgiras à l'aube,fils d'ANFKOU,pour venir empoisonner
En valeureux guerrier,nos mesquines consciences emprisonnées...
Le froid,et qu'au savoir,tu préfèrerais un peu de pain
Je m'en veux de m'empiffrer à mourir tous les matins.
Toi l'enfant d'ANFKOU,descendant des guerriers divins
Quand au lieu de beaux cahiers,dans ta besace ,des buches
lourdes à porter,sur ton chemin enneigé plein d'embuches
Trainant ton petit pas fragile,tel un vieil ours en peluche
Au condamné,je pense qui, haut sur l'échaffaud on juche
Quand le sang berbère limpide qui coule dans tes fines veines
refuse de geler dans ces froides montagnes et vastes plaines
et que ton sourire de la douleur émerge,quoi qu'il advienne
Je réalise que la bataille d'EL HANSSALI n'était pas vaine
Quand le son des bendirs et des tamawaytes,haut vont résonner
Quand les corps par haidouss rythmés ,dans les rangs vont foisonner
Tu ressurgiras à l'aube,fils d'ANFKOU,pour venir empoisonner
En valeureux guerrier,nos mesquines consciences emprisonnées...