ÇáãÓÇÚÏ ÇáÔÎÕí ÇáÑÞãí

ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : Gouvernance


mido_pro
31-03-2009, 12:14
La gouvernance est une notion controversée. Le terme de gouvernance est en effet défini et entendu aujourd’hui de manière très diverse et parfois contradictoire. Cependant et malgré la multiplicité des applications du mot, il existe une dynamique commune dans l’usage de ce terme. Chez la plupart de ceux qui, au sein du secteur public comme au sein du secteur privé, emploient le terme de gouvernance, celui-ci désigne avant tout un mouvement de « décentrement » de la prise de décision, avec une multiplication des lieux et des acteurs impliqués dans cette décision. Il renvoie à la mise en place de nouveaux modes de régulation plus souples, fondés sur le partenariat entre différents acteurs.
On distingue deux grands types de gouvernance : la gouvernance d'entreprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_d%27entreprise) pour le secteur privé et la gouvernance politique pour la pensée politique et administrative. En gouvernance politique, on parle de Gouvernance mondiale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_mondiale) ou globale, de Gouvernance locale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_locale) ou Gouvernance régionale (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance_r%C3%A9gionale&action=edit&redlink=1) en fonction des échelles de gouvernance abordées.
La gouvernance concerne en particulier :

les sociétés par actions, où les actionnaires ne doivent pas être simplement des pompes à apporter de l’argent.
les institutions publiques, telles que l'État (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat), l'Union européenne (http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_europ%C3%A9enne), les collectivités locales (http://fr.wikipedia.org/wiki/Collectivit%C3%A9s_locales), pour le respect des droits des citoyens (http://fr.wikipedia.org/wiki/Citoyen),
les organismes sociaux pour le respect des cotisants et bénéficiaires,
et les associations pour le respect des membres.
Sommaire

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<LI class=toclevel-1>1 Origine du terme (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Origine_du_terme)
<LI class=toclevel-2>1.1 &Eacute;tymologie (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#.C3.89tymologie)
1.2 Généalogie (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#G.C3.A9n.C3.A9alogie)
<LI class=toclevel-1>2 Gouvernance politique (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Gouvernance_politique)
<LI class=toclevel-2>2.1 Le système onusien (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Le_syst.C3.A8me_onusien) <LI class=toclevel-2>2.2 L’approche de la Banque mondiale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#L.E2.80.99approche_de_la_Banque_mondia le)
2.3 L’approche de la commission européenne (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#L.E2.80.99approche_de_la_commission_eu rop.C3.A9enne)
<LI class=toclevel-1>3 Gouvernance de l’entreprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Gouvernance_de_l.E2.80.99entreprise) <LI class=toclevel-1>4 Gouvernance stratégique™ (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Gouvernance_strat.C3.A9gique.E2.84.A2) <LI class=toclevel-1>5 Cadre analytique de la gouvernance (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Cadre_analytique_de_la_gouvernance) <LI class=toclevel-1>6 Gouvernance de l’internet (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Gouvernance_de_l.E2.80.99internet) <LI class=toclevel-1>7 Gouvernance du système d'information (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Gouvernance_du_syst.C3.A8me_d.27inform ation) <LI class=toclevel-1>8 Citations (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Citations) <LI class=toclevel-1>9 Notes et références de l'article (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Notes_et_r.C3.A9f.C3.A9rences_de_l.27a rticle) <LI class=toclevel-1>10 Sources (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Sources)
<LI class=toclevel-2>10.1 Sites web (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Sites_web) <LI class=toclevel-2>10.2 Ouvrages (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Ouvrages) <LI class=toclevel-2>10.3 Ouvrages en anglais (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Ouvrages_en_anglais) <LI class=toclevel-2>10.4 Articles (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Articles)
10.5 Rapports institutionnels (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Rapports_institutionnels)
<LI class=toclevel-1>11 Voir aussi (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Voir_aussi)
<LI class=toclevel-2>11.1 Liens internes (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Liens_internes)
<LI class=toclevel-3>11.1.1 Aspects liés aux institutions publiques (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Aspects_li.C3.A9s_aux_institutions_pub liques)
11.1.2 Aspects sociologiques et économiques (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Aspects_sociologiques_et_.C3.A9conomiq ues)
11.1.3 Formation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Formation)

11.2 Liens externes (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#Liens_externes)


Origine du terme [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=1)]


&Eacute;tymologie [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=2)]

Ce terme a une origine grecque (kubernân). Il est passé en latin (gubernare). Il était employé en ancien français (art ou manière de gouverner) comme synonyme de gouvernement. Il est passé dans la langue anglaise au XIVe siècle (http://fr.wikipedia.org/wiki/XIVe_si%C3%A8cle) (governance).
Le terme est tombé en désuétude en France, en partie parce qu’il était associé à l’Ancien Régime. Il est resté dans la langue anglaise. Il est revenu dans la langue française à partir des années 1990 par le biais du mot anglais « governance ».

Généalogie [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=3)]

La notion de gouvernance n’est pas nouvelle. Né de la langue française et renvoyant, dans le langage politique du Moyen-âge, au terme de gouvernement (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement) qui le remplace progressivement, le mot disparait pendant des siècles avant de réapparaître dans un contexte très différent à partir des années 1970 : celui de l’entreprise, à travers l'expression de corporate governance (Gouvernance d'entreprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_d%27entreprise)). C’est donc à partir du secteur privé que resurgit la notion, qui désigne un mode de gestion des firmes fondé sur une articulation entre le pouvoir des actionnaires et celui de la direction. Il s’agit alors de poser la question du type d’acteurs impliqués dans la prise de décision au sein de l’entreprise, et de leur mode d’interaction.
La pensée politique et administrative emprunte ensuite au management d’entreprise la notion de gouvernance en deux étapes.
La première étape correspond à la révolution libérale des années 1980, entraînant une nouvelle façon de penser le politique. Avec la remise en cause du rôle de l’&Eacute;tat notamment dans les pays anglo-saxons, émerge une conception fonctionnelle de la gouvernance liée à la logique dite du New Public Management (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_gestion_publique) (management public (http://fr.wikipedia.org/wiki/Management_public)). Cette logique repose sur une vision minimaliste de l’&Eacute;tat (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat) selon laquelle celui ci-doit revenir à son "coeur de métier" en décentralisant sur d’autres acteurs les fonctions considérées comme non stratégiques, comme le font d’ailleurs à la même époque les grands groupes industriels confrontés à la mondialisation.
La deuxième étape est celle des années 1990, où émerge une réflexion plus profonde sur le rôle de l’&Eacute;tat régulateur, en réaction à la vision, jugée techniciste, du New Public Management. Des auteurs comme Guy B.Peters (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guy_B.Peters&action=edit&redlink=1), Donald j.Savoie (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Donald_j.Savoie&action=edit&redlink=1) ou Pierre Calame (http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Calame) insistent alors sur le fait que la crise de l’&Eacute;tat ne connaît pas seulement une crise interne touchant à ses fonctions et à sa structure. Cette crise concerne davantage la capacité de l’&Eacute;tat à asseoir sa légitimité ainsi qu’à formuler des politiques publiques en phase avec les besoins socio-économiques.
Sans évoquer la notion de crise de l'&Eacute;tat mais davantage celle de transformation, des auteurs comme Bob Jessop (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bob_Jessop&action=edit&redlink=1) ou encore Neil Brenner (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Neil_Brenner&action=edit&redlink=1) réfèrent les modifications de la puissance publique actuellement à une série d'évolutions macro-sociologiques et macro-économiques qui ont affecté la centralité de l'&Eacute;tat et de ses institutions dans le pilotage et la régulation politiques. Les travaux de Patrick Le Galès (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Patrick_Le_Gal%C3%A8s&action=edit&redlink=1) ou encore de Bernard Jouve (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bernard_Jouve&action=edit&redlink=1) en se centrant sur les collectivités locales (villes, métropoles, région) ont permis de mesurer de la portée et les limites de tels changements qui affectent l'ordre politique actuel.

Gouvernance politique [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=4)]

Dans les sociétés occidentales régies par la démocratie libérale (http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie_lib%C3%A9rale), la gouvernance renvoie aux interactions entre l’&Eacute;tat (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat) et la société (http://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_(sciences_sociales)), c’est-à-dire aux systèmes de coalition d’acteurs publics et privés. Ces démarches de coordination d’acteurs différenciés ont pour but de rendre l’action publique (http://fr.wikipedia.org/wiki/Action_publique) plus efficace et les sociétés plus facilement gouvernables. C’est pourquoi, la gouvernance a été abondamment utilisée par les théoriciens de l’action publique, les politologues et les sociologues.
La gouvernance est à la fois un moyen de signifier la légitimité du fonctionnement politique, les relations de l’administration avec le corps politique, et les rapports entre eux, la société et le monde économique.
C’est une théorie de la régulation sociale (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=R%C3%A9gulation_sociale&action=edit&redlink=1) qui peut être déclinée à toutes les échelles de gouvernement (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement). Ainsi on parle de gouvernance locale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_locale), de gouvernance urbaine (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance_urbaine&action=edit&redlink=1), de gouvernance territoriale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_territoriale), de gouvernance européenne (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance_europ%C3%A9enne&action=edit&redlink=1), et de gouvernance mondiale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_mondiale) : c’est l’idée qu’il n’y a pas qu’un seul modèle de gouvernance mais des systèmes de gouvernance.
La science administrative (http://fr.wikipedia.org/wiki/Science_administrative) anglo-saxonne l’assimile au management public (New Public Management (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_gestion_publique)), doctrine de gouvernement qui préconise le recours aux agences (c’est aussi le cas dans les pays scandinaves comme la Suède) ou à des autorités administratives indépendantes (http://fr.wikipedia.org/wiki/Autorit%C3%A9s_administratives_ind%C3%A9pendantes) (AAI).
Les détracteurs de la « bonne gouvernance » dénoncent une idéologie du désengagement de l’&Eacute;tat-Providence depuis le tournant néolibéral des années 1980. C’est pourquoi, certains chercheurs engagés voient en la gouvernance une théorie de la recomposition de l’&Eacute;tat.

Le système onusien [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=5)]

Il porte le concept de gouvernance mondiale de plusieurs manières :

via une conception de la paix (http://fr.wikipedia.org/wiki/Paix) à toujours construire et non comme simple trêve ;
via une conception multilatérale d'une démocratie participative (http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie_participative), associant à égalité trois pôles : le monde dans sa totalité représenté par l'ONU, les &Eacute;tats, et des individus ou groupes d'individus, éclairés, « chacun des trois se trouvant sous le contrôle des deux autres »[1] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#cite_note-0) ;
par sa situation entre la démocratie et puissance, entre idéal égalitaire et universaliste s'inscrivant dans un monde « d’&Eacute;tats souverains et inégaux, dont la légitimité repose sur un territoire et une population bien délimités » [2] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#cite_note-1);
en faisant de la survie de l’humanité et de la protection de l'environnement (http://fr.wikipedia.org/wiki/Protection_de_l%27environnement) qui en est une condition, une question politique transversale et universelle, s'appuyant sur un triple constat alarmant : l'augmentation des nouvelles capacités de destruction massive, l'aggravation des perturbation des équilibres naturels et la dégradation accélérée des écosystèmes (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cosyst%C3%A8me) par l’homme et, du fait de l’augmentation vertigineuse des circulations, la tendance à la pandémisation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Risque_pand%C3%A9mique) de toute épidémie (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pid%C3%A9mie).
Le premier texte associant gouvernance et nécessaire protection transversale de la nature est la charte mondiale de la nature, proclamée par les nations unies en 1982 (http://fr.wikipedia.org/wiki/1982). Les sommets de la terre (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_de_la_Terre), dix et vingt ans plus tard (Sommet de la Terre 1992 (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_de_la_Terre_1992) à Rio (http://fr.wikipedia.org/wiki/Rio) puis Sommet de la Terre 2002 (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_de_la_Terre_2002) à Johannesburg (http://fr.wikipedia.org/wiki/Johannesburg), en seront deux des nombreuses suites. Par cette charte l'ONU intègre notamment la reconnaissance des générations futures et de leurs besoins environnementaux et une exigence de réparer l'environnement dégradé (à la hauteur de ses potentialités naturelles).
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/61/Searchtool.svg/15px-Searchtool.svg.png (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Searchtool.svg) Article détaillé : Charte mondiale de la nature (http://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_mondiale_de_la_nature).

L’approche de la Banque mondiale [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=6)]

&Agrave; partir de 1986, la Banque mondiale (http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_mondiale) cherche à comprendre les causes de la plus ou moins grande réussite des plans d’ajustement structurel (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ajustement_structurel) qu’elle met en œuvre.

Pour la Banque mondiale, la gouvernance recouvre les normes, traditions et institutions à travers lesquelles un pays exerce son autorité sur le bien commun (http://fr.wikipedia.org/wiki/Bien_commun). Le niveau de capital social d’un pays peut aider à la réussite des plans de développement économique comme au développement de la démocratie [3] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#cite_note-2)
La bonne gouvernance recouvre aussi bien la capacité du gouvernement à gérer efficacement ses ressources, à mettre en œuvre des politiques pertinentes, que le respect des citoyens et de l’&Eacute;tat pour les institutions, ainsi que l’existence d’un contrôle démocratique sur les agents chargés de l’autorité (Banque mondiale, 1999).

L’approche de la commission européenne [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=7)]

La Commission européenne a fait inscrire sa propre notion de gouvernance dans le Livre blanc de la gouvernance européenne [4] (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance#cite_note-3). Ainsi, l’expression gouvernance européenne désigne les règles, les processus et les comportements qui influent sur l’exercice des pouvoirs au niveau européen, particulièrement du point de vue de l’ouverture, de la participation, de la responsabilité, de l’efficacité et de la cohérence. Ces cinq « principes de la bonne gouvernance » renforcent ceux de subsidiarité (http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_subsidiarit%C3%A9) et de proportionnalité.

Gouvernance de l’entreprise [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=8)]

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/61/Searchtool.svg/15px-Searchtool.svg.png (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Searchtool.svg) Article détaillé : Gouvernance_d'entreprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_d%27entreprise).
Autre système de gouvernance, la gouvernance d'entreprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_d%27entreprise) (ou de toute autre institution) est l’ensemble des organes et règles de décision, d’information (transparence (http://fr.wikipedia.org/wiki/Transparence)) et de surveillance permettant aux ayants droit et partenaires d’une institution, de voir leurs intérêts respectés et leurs voix entendues dans le fonctionnement de celle-ci.
Directement décliné des principes de gouvernance d’entreprise, la gouvernance des technologies de l’information (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_des_syst%C3%A8mes_d%27information) (IT Governance) est un dispositif visant à réguler et optimiser le management des systèmes d’information (http://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_d%27information) d’une organisation. Il s’inscrit dans la logique des gouvernances appliquées.

Gouvernance stratégique™ [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=9)]

Imaginé et développé par Roméo Malenfant (http://fr.wikipedia.org/wiki/Rom%C3%A9o_Malenfant), Ph.D., le modèle de fonctionnement de la gouvernance stratégique™ propose des prémisses, des principes et des pratiques qui aideront les administrateurs à créer une saine culture d'entreprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_d%27entreprise). Il représente une voie solide et rassurante pour qui est à la recherche d’une forme de fonctionnement adéquat au sein d’une organisation. La gouvernance stratégique™ permet de bien limiter ce que doit faire un conseil d'administration (http://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_d%27administration) et son directeur général. Quand on pense au mot stratégie (http://fr.wikipedia.org/wiki/Strat%C3%A9gie) de guerre, c’est un plan, une méthode, pour faire la guerre. Pour la gouvernance, ce modèle (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le) de fonctionnement permet d’élaborer un plan d’action dans lequel l’organisation va évoluer.

Cadre analytique de la gouvernance [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=10)]

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/61/Searchtool.svg/15px-Searchtool.svg.png (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Searchtool.svg) Article détaillé : Cadre_analytique_de_la_gouvernance (http://fr.wikipedia.org/wiki/Cadre_analytique_de_la_gouvernance).
Le cadre analytique de la gouvernance est une méthodologie destinée à comprendre des situations de "gouvernance", lorsque les processus collectifs déterminent des solutions à des problèmes de nature publique et produisent des normes ou des institution sociales.

Gouvernance de l’internet [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=11)]

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/61/Searchtool.svg/15px-Searchtool.svg.png (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Searchtool.svg) Article détaillé : Gouvernance d'internet (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_d%27internet).
Il faut entendre par « gouvernance de l’Internet » l’élaboration et l’application par les &Eacute;tats (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat), le secteur privé (http://fr.wikipedia.org/wiki/Secteur_priv%C3%A9) et la société civile (http://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_civile), dans le cadre de leurs rôles respectifs, de principes, normes (http://fr.wikipedia.org/wiki/Norme), règles, procédures de prise de décision et programmes communs propres à modeler l’évolution et l’utilisation de l’Internet (http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet).
Définition du Rapport du Groupe de travail sur la gouvernance de l’Internet (http://www.wgig.org/docs/WGIGReport-French.doc)

Gouvernance du système d'information [modifier (http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernance&action=edit&section=12)]

Les processus de prise de décision de l’entreprise sont de plus en plus dépendants de l’informatique et de son utilisation dans tous les domaines de l'entreprise. Le département ou service informatique de l'entreprise n'est plus seulement fournisseur de services, il en est un acteur déterminant. S'il ne prend conscience de son rôle, il n'accompagnera la stratégie de l'entreprise et celle-ci en sera tôt ou tard pénalisée de façon plus ou moins lourde.