C'est malheureusement le cas de la majorité des élèves. Que faire en de pareilles situations? les laisser à leur sort sous pretexte que cela nous ne regarde pas. Je suis convaincu qu'il n' y a pas d'enseignant qui adopte tel comportement; on essaie de faire ce qu'on peut, adoucir les souffrances, apporter un soutien moral parfois matériel, on fait monter le moral...
Etre enseignant, c'est effectivement mesdames être assistant, psychologue, avocat, accompagnateur, ...Par définition; même si on ne veut pas l'assumer, le pourrait-on? Et c'est ce qui humanise davantage le domaine de l'éducation.
En proposant ce sujet, tu as déjà dévoilé madame ton souci humain, merci.
PS.
Concernant les classes intégrées pour enfants à besoins
pécifiques, et pour être équitable, j'ai eu l'occasion de voir quelques expériences dans des écoles primaires et qui sont réussies (matériel sophistiqué, enseignante bénéficiant de formation, ..) j'éspère que cela se généralisera.