SANS FAMILLE: bref résumé

[abou-nawrass]

SANS FAMILLE H.MALOT
Bref résumé de l’œuvre

Rémi a été élevé dans le village de CHAVANON et ce, jusqu’à l’âge de huit ans. Il grandit dans la maison de « MERE BARBERIN », une femme bonne et douce qui ne l’a laissé manquer de rien malgré sa pauvreté. Jusqu’à cet âge-là, Rémi croyait qu’elle était sa vraie mère. Le retour de MR BARBERIN (après son accident) va être le début d’un long périple (voyage) de Rémi, car ce monsieur ne voulut plus de lui à la maison et décida de le louer à VITALIS, un montreur de chiens.
Rémi a donc suivi VITALIS bien malgré lui. Ils partent de CHAVANON et s’arrêtent à USSEL où VITALIS offrit à Rémi : des souliers, une veste, un pantalon et un chapeau. Il lui explique en quoi consiste son travail : « donner des représentations avec l’aide d’un singe JOLI-CŒUR et trois chiens : CAPI, DOLCE, et ZERBINO ; ramasser la « cagnotte » en amusant les gens (la bonne société) et vivre ainsi en allant de ville en ville et de village en village. VITALIS en homme de cœur prit en main l’éducation de Rémi, tout en lui apprenant le métier ; il lui enseignait la langue le calcul et même la musique.
Un jour, voulant défendre Rémi, VITALIS se retrouve en prison. Pendant ce temps, Rémi faisait jouer les animaux et c’est ainsi qu’il rencontra une charmante Anglaise, Mme MILLGAN, qui l’invita (avec ses animaux) sur son bateau : LE CYGNE et ce pour amuser son fils qui ne pouvait marcher : ARTHUR. Cette dame garda Rémi et ses animaux jusqu’à la sortie de prison de VITALIS.
Alors reprend pour Rémi la vie d’errance. Pour atteindre PARIS, il fallait marcher longtemps. De SETE où il laissa LE CYGNE à DIJON, puis CHALILLON et avant d’arriver à TROYES, nos amis, bloqués par la neige, ont dû s’arrêter dans une maison abandonnée. La nuit, alors que REMI était de garde DOLCE et ZERBINO sortirent et furent attaqués par les loups. Cette perte rendit Rémi bien malheureux. D’autant plus JOLI-CŒUR tomba malade et finit par mourir malgré les soins qui lui ont été prodigué.
A l’arrivée aux abords de PARIS, VITALIS et Rémi, tristes, fatigués et affamés vont affronter une terrible tempête de neige. Ils s’assirent prés d’un jardin, se couvrirent de paille et CAPI se blottit contre la poitrine de Rémi pour le réchauffer. Fatigué, Rémi s’endormit. Quand il se réveilla, il était dans une chambre chauffée, entouré de gens qu’il ne connaissait pas. Il demanda d’après VITALIS, à l’homme de la maison. Ce monsieur était jardinier, il les a trouvés en sortant, VITALIS était mort et Rémi respirait à peine, sauvé par la chaleur de CAPI. Rémi raconte au jardinier et à ses enfants LISE, la plus jeune, muette, ALEXIS et BENJAMIN et leur sœur ETIENNETTE) toute son histoire ; et le bon jardinier, LE PERE ACQUIN, lui proposa de rester avec eux, lui et CAPI. Une vie douce commença pour Rémi. Mais cela ne devait pas durer pour longtemps…
Un jour, l’orage détruisit les serres du PERE ACQUIN, et celui-ci, pour payer ses dettes, devait passer cinq ans en prison. Les enfants furent dispersés au quatre coins de la FRANCE et Rémi dut reprendre la route, encore une fois, seul avec CAPI.
En quittant ses amis, Rémi rencontra MATTIA qu’il avait vu une fois chez GARAFOLI, un méchant montreur de chiens que connaissait bien VITALIS
Ils (Rémi et MATTIA) décident de faire route ensemble. La troupe était composée maintenant de Rémi, MATTIA qui jouait de plusieurs instruments de musique et qui chantait aussi et CAPI.
Arrivés à VARSES, Rémi va voir ALEXIS qui, maintenant, vivait chez son oncle et travaillait avec lui à la mine. Ils furent bien accueillis. L’oncle GASPARD proposa à Rémi de rester travailler à la mine mais il refusa.
Rémi avait une autre idée en tête : « acheter une vache et aller l’offrir à MERE BARBERIN pour remplacer ROUSSETTE, la vache qu’elle vendit dans les moments difficiles. Les enfants ayant bien travaillés (de PARIS à VARSES puis de VARSES à USSEL), l’argent de la vache était gagné. Avec l’aide d’un vétérinaire, ils en choisissent une et en route pour CHAVANON….
MERE BARBERIN fut très heureuse de revoir Rémi et ses amis ; elle leur prépara de bonnes crêpes qu’ils dévorèrent goulûment. A la fin du repas, MERE BARBERIN apprend à Rémi que sa famille le cherche et que, justement pour cette affaire que JEROME BARBERIN est à PARIS.
Rémi décida de retourner à PARIS voir JEROME BARBERIN. Mais en arrivant là-bas, il découvre que ce dernier est mort. Une lettre arriva de chez MERE BARBERIN où elle leur donne l’adresse du monsieur qui cherchait Rémi : « Greth and GallLey, Green Square, Lincoln’s Inn à LONDRES »… et voilà nos deux amis qui partent pour LONDRES.
On apprend à Rémi que son père se nomme DRISCOLL. Il fait la connaissance de cet homme, de sa femme et de ses enfants. Il se devait de l’aimer. DRISCOLL fait travailler Rémi, MATTIA et CAPI à son compte.
Rémi envoya une lettre à MERE BARBERIN « pour lui demander de lui parler de ses petits vêtements, ceux qu’il portait quand il était bébé » ; il avait entendu dire par JEROME BARBERIN que ces habits prouvaient que sa famille était riche ; ce qui n’était pas le cas des DRISCOLL.
La réponse de MERE BARBERIN arriva, et Rémi demanda à « son père »de lui parler de la façon dont il était habillé lorsqu’on le leur vola. DRISCOLL expliqua comment était ces vêtements, ce qui correspondait à la version donnée par MERE BARBERIN.
Rémi en parle à MATTIA et celui-ci lui dit : «Tu n’es pas le fils de DISCOLL, Tu es l’enfant volé par lui ».
Un jour, un monsieur à l’élégance toute anglaise vint voir DISCOLL. Rémi ne le connaissait pas mais MATTIA si. Il dit à son ami : « c’est monsieur JAMES MILLIGAN, l’oncle d’ARTHUR et le beau-frère de la douce madame MILLIGAN la propriétaire du CYGNE ».
Au printemps, les DRISCOLL décidèrent d’aller à la campagne. Mais Rémi et MATTIA décidèrent de retourner en France. Ils n’étaient pas heureux avec les DISCOLL.
Rémi fit la connaissance de BOB, ami de MATTIA, qui va les faire fuir à bord d’un bateau de l’un de ses frères. Le voyage se passa bien. Les deux amis (Rémi et MATTIA) décidèrent de suivre les rivières et les canaux pour retrouver LECYGNE ; mais avant, Rémi voulut voir LISE, la petite muette. En arrivant à DREUZY, on lui apprend que la tante de LISE, madame SUROT, était partie en EGYPTE, et que LISE a été emmenée par une dame anglaise, MADAME MILLIGAN, qui avait demandé à une voisine de dire à Rémi d’aller la retrouver à VEVEY en SUISSE.
Et comme disait VITALIS, MATTIA, s’écria : « EN AVANT !!! ».
En SUISSE, ils retrouvèrent LISE et MADAME MILLIGAN mais devaient encore se cacher, car JAMES MILLIGAN se trouvait-là ! (…)
Un jour, MADAME MILLIGAN dit à Rémi : « Enfin, l’heure est venue où vous pouvez reprendre votre place ! ». Rémi l’embrassa et vit, à ce moment même, MERE BARBERIN entrer.
Les années ont passé. Rémi s’est marié avec LISE, ARTHUR avec la sœur de MATTIA qui est devenu un grand artiste et MERE BARBERIN s’occupe du premier enfant de Rémi, comme elle s’était occupée de lui naguère !
Rémi, repense souvent à VITALIS, qui lui avait tout appris. !!!

[mito-angel]

ma3andna mandiro biha

[abou-nawrass]

اقتباس المشاركة الأصلية كتبت بواسطة mito-angel ma3andna mandiro biha

MERCI
c'est très gentil de ta part

[mito-angel]

اقتباس المشاركة الأصلية كتبت بواسطة abou-nawrass MERCI c'est très gentil de ta part

mat9ala9ch khoya mais merci

[mito-angel]

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dsl prof dsl dsl