السلام عليكم
العفو اخي abou houssam هذا واجب.
حررت موضوعين مختلفين. الاول "مع حرية الاطفال بشروط" و الثاني " ضد الحرية".
حاولت ان يكون المستوى في المتناول. و الله ولي التوفيق.
الموضوع الاول
Aujourd’hui, on constate que les jeunes ne veulent plus écouter leurs parents et préfèrent voler de leurs propres ailes. Bien que les adultes voient cela d’un mauvais œil, je suis tout à fait d’accord.
En effet, nos parents ont eu leurs propres expériences, leur propre vie .Ils ont pu comprendre le monde à partir de ces expériences-là. Alors pourquoi veulent –ils nous imposer leurs points de vue et nous empêcher d’apprendre nous aussi d’une manière autonome afin d’être capables de mener à bien notre vie plus tard ?
De plus, les parents sont quelque peu dépassés par les événements .Les études qu’ils ont faites, les connaissances qu’ils ont reçues ne peuvent plus nous aider pour aller au delà de l’avant. On constate même que les jeunes d'aujourd'hui se trouvent très loin devant eux. Donc, il serait, à mon sens, impossible de nous proposer des solutions qui relèvent du domaine de l’informatique, des logiciels et d'autres domaines de compétence.
D’un autre côté, demandons un peu à nos parents s’ils aimaient eux aussi que leurs parents les guident et leur montrent le chemin. Je suis absolument sûr que non pour la simple raison que l’être humain aspire à la découverte par lui-même. Dans ce cas, je pense qu'ils devraient nous comprendre un peu et nous laisser la liberté de choisir.
Si malgré tout cela, on devrait écouter nos parents de temps en temps, il faudrait qu’ils nous laissent avoir le dernier mot lorsqu'il s'agit d'une décision qui relève de notre avenir .Nous serons bien évidemment heureux de recevoir leurs points de vue sans qu'ils nous les imposent. De cette manière, tout le monde sera satisfait.
Autrement dit, un jeune qui ne fait qu’obéir, que suivre les directives des adultes ne sera jamais prêt à jouer son rôle d’adulte plus tard. Je pense que personne ne le voudra pas, surtout les parents eux-mêmes.
الموضوع الثاني.
D’aucuns pensent que les parents doivent laisser le champ libre à leur progéniture sans intervention aucune de leur part. Il m’est difficile de me ranger de leur côté d’une manière absolue pour les raisons suivantes.
Si je trouve qu’il est fort risqué de ne pas assister ses enfants c’est par ce que d’abord ces derniers ne seront capables de voler de leur propres ailes que plus tard. On constate cela à longueur de la journée : dès que le jeune se confronte à un problème, il devient vulnérable et ressent par conséquent le besoin vital d’être épaulé.
De plus, laisser le jeune prendre l’initiative tout seul sans concertation avec les grands serait, à mon sens une erreur flagrante qui pourrait générer l’anarchie puisque les jeunes seront inaptes à gérer leu vie et pourront par la suite commettre des erreurs qui nuiront à leur futur.
Puis, ceux qui pensent qu’il faut donner la liberté d’agir aux jeunes ont absolument tort pour la simple raison qu’ils piétinent parfois volontairement sur leurs mœurs et leurs us. Combien de fois, on entend ça et là des tragédies provoquées par des parents débonnaires qui ne savent pas allumer le feu rouge devant leurs petits afin de les éduquer dans une aire saine où les droits et les devoirs ont des parts égales.
Ensuite, laisser les jeunes agir à leur guise est très déplacé puisque ceux-ci useront mal de leur liberté et nuiront d’abord à eux-mêmes, ensuite à leurs proches avant de nuire à toute la société au sein de laquelle ils vivent.
Enfin, la liberté reste et sera toujours un concept universel vague qui aura éternellement besoin d’être spécifié par d’autres principes d’ordres sociaux, religieux et humanistes dans la perspective de le mettre dans son cadre adéquat à chaque société.
En guise de conclusion, les jeunes ont toujours besoin d’être entourés de leurs parents jusqu’à un âge convenable. En attendant d’être indépendants ils doivent continuer de communiquer, de prendre l’avis de leurs parents avant de prendre une décision. C’est dans ce cas là où ils pourront améliorer leur personnalité dans le dessein d’être responsables plus tard.