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Permets- moi si Fouad d'etre un peu en différence avec l'idée de condamner des facteurs tels le changement des meurs,la chereté de la vie,et la mutation de notre société.A priori,ces éléments sont unanimement montrés du doigt .A mon avis,le problème est plus complexe,je soupçonne ces tendances trop ouvertes qui mettent la confusion et le chaos dans nos foyers:c'est de définir le partage des réspensabilités,des roles de chacun et en premier celui du tutilaire par excéllence celui à qui incombe de gérer sa famille:القوامة المادية والروحية
J'accuse la non compréhension du role de la femme qui devrait se nourrir des recommandations de l'islam.Je rejette plus de concepts importés de l'occident sous peine que celà est le fleuron civilisationnel.Un célébataire endurci regarde avec stupeur cette mutation hébride de la femme qui en épousant de tels principes devient méconnaissable :Etre bien averti c'est d'éviter de tomber victime et se trouver comme beaucoup de naifs devant un juge de famille en train de prouver sa gouvernance |
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Je suis absolument d’accord avec tout ce que tu dis si Chedbir n’ayant moi-même préalablement occulté aucun des points que tu as cités .Pour moi la cause primordiale de cette frilosité face au mariage reste avant tout ,et ceci pour généraliser le plus possible en étalant cette réflexion à tous les niveaux sociaux ,un point commun chez les jeunes ou les moins jeunes célibataires d’aujourd’hui quelle que soit leur appartenance sociale ou intellectuelle à savoir une peur légitime alimentée essentiellement par la déchéance des mœurs. Nous sommes en plein dans une société purement de consommation à tous les niveaux sans exception et c’est cela le plus malheureux et surtout le plus alarmant. Et notre éloignement des préceptes de notre religion comme tu le dis constitue à coup sur la raison de cette débandade .Les profils actuellement les plus disponibles sur le marché du mariage (passe-moi l’expression !)ne sont guère reluisants d’un coté comme de l’autre.
Par ailleurs l’évolution du comportement de la femme au sein du mariage reste étroitement lié au partage des responsabilités .Comment pourrait-on exiger la passivité soumise et accomplie d’une épouse qui participe activement aux frais du foyer ?Si l’image de référence que nous gardons tous, plus ou moins ,de nos mères et des unions bénies selon la Loi de Dieu dans l’Islam est totalement à l’opposé de celle des épouses actuelles ,à quel point pouvons –nous encore revendiquer la ressemblance avec nos pères?
Mes amitiés