- L’arabisation hâtive de quelques disciplines a condamné cette interpénétration qui existait entre les matières professées autrefois en français et cela s’est répercuté négativement sur l’apprentissage de la langue (je ne suis pas contre l’arabisation, mais vous ne voyez pas que c’est un paradoxe d’enseigner des matières en arabe alors qu’elles seront professées à l’université en français ?)