Le cœur serré, l'espoir brisé,
Je marchais dans un désert sans issue.
Je pensais à mon présent, à mon avenir,
A mes rêves et(à) mes souvenirs.
Mes yeux voyageaient dans les nuages
Et voyaient au dessous,
Toutes les collines et tous les rivages.
Ils cherchaient l'espoir d'une histoire perdue.
Ils la trouvèrent soudainement,
Noyée dans la neige fondue.
C'était une rivière de larmes salées
Et le miroir d'un cœur de verre cassé(brisé)
C'était une fleur de printemps bien fanée
Par la misère et les douleurs (de)toute une vie.
Mes yeux, ne peuvent plus, regarder un visage...
Pâle, vieux, où des rides sont tracées
Par les éclairages des apparences ...
D'un monde féroce caché sous des nuages
De bonté, de bonheur,
(Et)De joie volée à des pauvres visages !
N'ayant plus comme but que les mirages!
Merci cher Jeronimo pour ce touchant poème ou se mêlent amertume et désillusion et que vous avez eu l'amabilité de partager avec nous.J'ai pris la liberté de reprendre quelques petites erreurs de frappe (ponctuation et autres ...)qui changeaient un peu le sens du texte... J'espère que vous ne m'en voudrez pas ...Mes sincères amitiés